Si Paul a tenu parole, faisant jouer ses contacts pour faire libérer Jim, ce dernier en veut toujours autant à son père, Marc : quand il revient à l’Institut, il se garde bien de l’en informer. Rose vient trouver son ex-petit ami pour avoir des explications, mais Marc ne peut rien dire, car Paul l’a menacé de faire renvoyer Jim en prison s’il parle. Il n’a d’autre choix que de l’envoyer balader. Clotilde lui interdit alors de s’approcher de sa sœur. Quant à Jim, il dit à son père qu’il ne veut plus rien avoir à faire avec lui. Après onze ans de sobriété, Marc recommence à boire, sous les yeux de Joséphine…

Pour aider Gaëtan, qui est en train de refaire la carte de son coffee shop dans l’optique de sa réouverture prochaine, Alice, Carla et Bérénice acceptent de goûter ses préparations. Elles sont immondes, mais personne n’ose le lui dire ! Sur le conseil de Stanislas, Alice, qui craint que la réouverture du coffee shop se passe mal, finit par aller voir son petit ami pour lui dire sans filtre tout le mal qu’elle pense de ses desserts. Mais celui-ci, vexé, le prend très mal… Furieuse, Alice se plaint à Stanislas, regrettant ouvertement le départ d’Hortense qui, elle, lui donnait de bons conseils !

Tom se met les mastérants à dos

Enfin en phase avec lui-même, Tom se lance dans le projet qui lui tient vraiment à cœur : une cuisine d’antan revisitée, mais en préservant le côté traditionnel. Et ce qu’il veut dire par-là, c’est que si les plats peuvent être modernisés, ils doivent être entièrement réalisés avec des techniques d’époque ! De quoi provoquer la fureur de sa brigade, contrainte de tout faire sans outils modernes. En prime, les clients doivent attendre une éternité… Cependant, au grand dam des mastérants, il s’avère que de nombreux clients apprécient cette expérience inédite. Et en prime, il faut faire la vaisselle à la main !