Un Si Grand Soleil : Résumé de l’épisode du 18 septembre 2024

Marc Mourre poursuit son enquête sur les dognapping

Marc se consacre entièrement à la problématique de la disparition des chiens dans la région. Il a mis en place un dogmapping, un tableau d’images qui comporte une carte, des photos de chiens et des notes, ce qui lui permet de visualiser son enquête. Sur cette carte, il a indiqué les emplacements des enlèvements de chiens, ainsi que les adresses des propriétaires et les lieux où le ravisseur a restitué les animaux. Mais il n’a trouvé aucune logique dans tout ça. Mais Marc ne baisse pas les bras pour autant.

Non loin de là, Dimitri observe une femme qui laisse son chien à l’entrée du magasin. Il profite qu’elle flâne dans la boutique pour voler le chien, mais la propriétaire le surprend. Dimitri s’empresse de prendre la fuite à bord de son véhicule.

De son côté, Charles cherche à en savoir plus sur la vie sentimentale de Rebecca. Celle-ci explique à son assistant qu’elle est célibataire, mais qu’elle aime bien flirter. Elle précise qu’elle n’est pas un cadeau, car en plus de ne pas être fidèle, elle est un peu désordonnée, ne sait pas cuisiner et ronfle la nuit. Mais pour Charles, il n’y a pas de souci là-dedans. Rebecca le remercie. Elle est flattée d’être draguée et de savoir qu’elle plaît.

Marc, de son côté, appelle les propriétaires des chiens qui ont été enlevés et découvre que les animaux ont tous été à un moment donné suivis par le même vétérinaire, Rebecca. Pour le journaliste, cela ne peut pas être une coïncidence.  Marc se rend à la clinique vétérinaire et explique à Rebecca que le ravisseur choisit uniquement des chiens de race et des lauréats de concours. Il précise que tous ces chiens sont soignés dans ce cabinet. Rebecca et Charles affirment au journaliste qu’ils sont les seuls à avoir accès à la base de données.

Marc appelle ensuite Léonor afin de l’informer qu’elle ne l’attende pas pour le dîner. Il rentrera tard, car il est en train de suivre une piste. . Il suspecte Rebecca d’être la complice du ou des ravisseurs. Et comme il sent qu’elle cache quelque chose, il décide de la suivre. Rebecca rejoint Dimitri dans un square et l’embrasse tendrement. Marc les surprend ensemble et tombe des nues.

Une nouvelle piste ?

Au commissariat, Alex fait le point avec le commissaire Becker, Elise et Manu. D’après l’agenda de Céline, l’une des trois suspectes, elle se trouvait à l’étranger lors des enlèvements de Patrice Leguy et Martin Héran. Elise souligne qu’il faut vérifier ces informations. Alex est convaincu que cela va se confirmer et qu’ils se trompent sur elle. Manu souligne que Céline aurait très bien pu charmer les victimes, tandis que quelqu’un d’autre s’est occupé de les kidnapper et de les tuer. Alex n’est pas d’accord et pense que la jeune femme n’est pas complice du tueur en série. Clément, de son côté, déplore que son équipe stagne dans cette enquête et leur met un coup de pression.

Au Palais de justice, Chloé Cresson s’effondre en larmes devant Cécile. Elle confie qu’elle pense constamment à Evan, au point de ne pas réussir à dormir ni à se concentrer sur son travail. Cécile l’encourage à rentrer chez elle pour se reposer.

Non loin de là, au commissariat, Alex informe Clément qu’il vient de recevoir les résultats des analyses. Les empreintes de Céline Detouche ne correspondent pas à celles relevées sur la scène de crime à Avignon. De plus, ils ont reçu la confirmation qu’elle était en déplacement professionnel au moment des disparitions. Clément Becker en déduit que la piste concernant application de rencontres doit être écartée, mais le problème, c’est que le temps file : il ne reste que huit jours avant le meurtre présumé d’Evan Cresson. Clément décide de mettre fin à la surveillance de Céline Detouche, mais il la garde sous écoute, on ne sait jamais…

Manu, pour sa part, rencontre Yves Chapelier, l’ancien policier qui avait été chargé de l’enquête sur la noyade de Léo. Il lui montre des photos d’Evan Cresson et des victimes du tueur en série, mais Yves ne parvient pas à les identifier. Il se rappelle néanmoins cette affaire. Léo avait subi un choc à la tête, et il n’y avait eu aucun témoin, aucune preuve de lutte, ni aucun mobile qui puisse laisser penser à un meurtre. Il précise que Raphaël, le frère aîné de Léo, était persuadé qu’il ne s’agissait pas d’un simple accident, car Léo avait été harcelé et frappé quelques jours avant sa mort.